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Il y eut le confinement, l’absence de l’autre, hier incarnée et vive. Alors on a fait comme si l’absente était là. Et une autre soudain est apparue, sur l’écran, image avant de redevenir image, image potentielle d’un visage dans l’attente d’être réfléchi par celle qui le reçoit de plein fouet. Reflets d’une grande nudité, brutales dans leur saisissement mécanique jusqu’en devenir grotesques, livrant parfois ce qui dans la réalité est retenu, composé, souvent caché. Elles seront, une fois peintes, des miroirs qui se souviennent.
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